Rencontre avec Nicolas Bourgoin, pour son livre " La révolution sécuritaire (1976-2012)" éditions Champs Social
Nicolas Bourgoin est l’auteur d’un nouvel ouvrage paru le 17 février 2013 : La Révolution Sécuritaire (1976-2012) aux éditions Champ Social. Cet ouvrage est disponible à la vente en librairie et surInternet.
Nicolas Bourgoin est démographe, maître de conférences à l’Université de Franche-Comté, membre du Laboratoire de Sociologie et d’Anthropologie de l’Université de Franche-Comté (LASA-UFC). Il est l’auteur de deux ouvrages : Le suicide en prison (Paris, L’Harmattan, 1994) et Les chiffres du crime. Statistiques criminelles et contrôle social (Paris, L’Harmattan, 2008).
Né en 1956 en Roumanie, il croit en la capacité de la littérature de démolir le totalitarisme. Il écrit des pièces de théâtre interdites de création, et part pour la France. Il commence à écrire en français en parallèle de sa thèse sur la résistance culturelle et travaille pour diverses radios. Il a publié chez Actes Sud-Papiers : Paparazzi suivi de La femme comme champ de bataille, Lettres aux arbres et aux nuages, ou encore Lettres d’amour à une princesse chinoise en 2012. En Roumanie, depuis la chute du communisme, Matéi Visniec est devenu l’auteur dramatique le plus joué. Il a reçu le prix européen 2009 de la SACD.
Considérer la série comme le déroulement, le défilement d’une suite de pensées pour en constituer un ensemble. Avec ce numéro 94 et la fin 2012 - à laquelle il semblerait, si vous lisez ces lignes, que nous ayons survécu - se terminent plusieurs séries. Le manifeste pour un visuel qui ouvre l’oeil de Joris Guibert, une vaste tentative de questionner l’image – ses enjeux, usages, effets, potentialités et d’en interroger les nouvelles pratiques, dont la performance. Le projet initial s’est adapté au fur et à mesure des publications.
Spéciale François BAYLE 50 ANS D ACOUSTIMATIQUE
François Bayle, 50 ans d’acousmatiquePar Lionel Marchetti
Est-il possible, à l’écoute d’une composition de musique concrète, d’oublier cette boîte – le haut-parleur – d’où tous les sons surgissent ? Est-il possible de ne pas faire grand cas de cet étrange habitacle de bois, de plastique et de fer qui semble être, pour les sons enregistrés, l’ultime tremplin pour envahir l’espace de notre écoute et, tout à la fois, un puits sans fond où résonne une kyrielle d’entités cachées comme autant d’humeurs inquiètes ?
Allumez le poste et ouvrez vos oreilles le vendredi 19 Avril de 18h à 19h !
Emission en direct : "Gacha Empega"
Les jeunes musiciens de Planoise (et d'ailleurs) sont invités sur Radio Campus au 102.4 !
Lors d'un stage musical organisé par le CAEM et la maison de quartier Planoise, ils ont travaillé pendant une semaine et on fait un premier enregistement de leur travail.
Novice ou un peu plus experimenté ils ont oeuvré collectivement dans ce stage musique pendant toute la semaine et ils vont présenter leurs morceaux et leur démarche en direct de radio campus.
rENCONTRE avec l'artiste JEAN PIERRE SERGENT autour de sa dernière exposition "SEX & RITUALS " du Samedi 2 mars au Jeudi 18 avril 2013 sérigraphie Galerie OMNIBUS 18 rue de la bibliothèque BESANCON. http://omnibus-galerie.com/jean-pierr...
http://www.citedesartsetdelaculture.fr/ livre de jour :Nouveau Manifeste du Naturalisme Intégral Pierre Restany, Sepp Baendereck et Frans Krajcberg rhttp://www.criteres-editions.com/index.php/component/hikashop/19688-nouveau-manifeste-du-naturalisme-integral-version-condensee/related_product-19688?Itemid=1
Vingt-neuf auteurs sont parmi nous dans ce livre-disque qui célèbre la rencontre, poursuivant le cycle de la parole, en dehors des identités et des cloisonnements.
Voici venir ce temps hors frontières où les femmes et les hommes habitent pleinement le monde et se racontent à travers les fables et rumeurs, Nous et l’Autre… dans la nécessité du vivre-ensemble, confrontant corps, imaginaires et pensées. Serrement de coeurs, de voix afin de donner sens à nos chemins et de nous tenir debout face à l’horizon.
Roberte Hamayon (Religions et histoire, n°5, nov.-déc. 2005, p.7)
Dans la littérature ethnographique, on appelle chamanisme le système de représentations et de pratiques qui sous-tend l'activité des chamanes. De tradition orale, non doctrinal, il est caractéristique de petites sociétés sans chef, menant une vie de simple subsistance, dans lesquelles il est seul en présence. Il s'adapte à d'autres cadres, par exemple en contexte colonial où il se mêle aux religions universalistes. Le renouveau qu'il connaît de nos jours dans les sociétés décolonisées en voie de modernisation se manifeste sous des formes diverses: "chamanisme urbain", mouvements de reconstruction identitaire, philosophie écologique d'"harmonie avec la nature"Discours R. Hamayon Colloque Lévi-Strauss "L’Aigle et le Corbeau structurent aussi la forêt sibérienne"
MUSIQUES DU MONTAGE ENTREVUE
BUDA MUSIQUE collection SIBERIE Non content d’avoir commis la plus importante collection au monde (11 CDs à ce jour) sur les musiques des peuples autochtones de Sibérie, et d’avoir donné plusieurs conférences à ce sujet, Henri Lecomte récidive avec un livre : « Les esprits écoutent ».
Sais tu d'Ou je viens ! Ecouter l'émission cette semaine nous recevons des étudiants stagiaires professeurs du Soudan de passage au CLA de Besançon pour plusieurs mois. Ahmed, Idris, Nadia, Amadi Aboubaker...
Chronique livre :
"DANS LE VENTRE DU SOUDAN" Guillaume Lavallée Chronique Editions Mémoire d'Encrier. Dans le ventre du Soudan nous plonge dans les méandres de l’histoire du plus grand pays d’Afrique. L’ouvrage nous fait découvrir un pays, mais également la complexité des relations de pouvoir et de conquête en Afrique. Le regard de l’auteur Guillaume Lavallée s’accroche à tout ce qui est vivant, à l’actualité immédiate, aux éléments de la vie ordinaire : les nomades, les souks, les êtres, les dieux, le bétail. On découvre, en dehors de la violence qui caractérise cette réalité, la vivacité du combat pour la citoyenneté et l’autodétermination.
Le chant de l'anacondaL'apprentissage du chamanisme chez les Sharanahua (Amazonie occidentale)
Pierre Déléage
L'ambition de ce livre est de faire une desciption précise et détaillée des rituels chamaniques des Sharanahua, peuple d'Amazonie occidentale. Cet ouvrage retrace les différentes étapes de l'apprentissage de ce savoir rituel, depuis la petite enfance jusqu'à l'initiation finale. Au lieu de prétendre reconstruire une illusoire "pensée sharanahua", l'auteur expose la manière dont les chamanes eux-mêmes conçoivent et appréhendent leurs propres savoirs, puis tente d'expliquer comment l'apprentissage de cette "épistémologie" forme l'une des conditions de la transmission de la tradition rituelle.
CHAMANISMES ET MEDECINES DE LA TERRE
HOZHO exprime l’état idéal de santé, beauté, harmonie auquel doit tendre toute personne. C’est la langue des Diné-navajo. Depuis la création, tous les êtres humains ont cherchés cette union parfaite entre eux et l’univers; le chamanisme a donc toujours existé.
Comme le résume si justement Laurent Huguelit, qui nous accorde l’interview portrait de ce premier numéro," il est important que les gens comprennent que le chamanisme est un ensemble de techniques, de connaissances et de conceptions millénaires qui méritent un grand respect, parce qu’elles font partie de l’histoire humaine et qu’elles sont à la source de nos cultures." HOZHO, c’est aussi l’envie de parler de chamanisme au quotidien et de partager notre passion pour ce rapport très particulier avec les esprits de la Nature.
forme complexe et durable de mise en valeur de leur environnement tropical de montagne. L’auteur insiste sur les systèmes de représentations qui intègrent les taxonomies de la faune et de la flore en instituant le corps humain en métaphore fondamentale du cosmos. L’importance de cet effort de systématisation apparaît clairement dans le contexte actuel, où les peuples autochtones revendiquent, comme partie intégrante de leur identité, une forme propre d’établir des relations avec l’environnement matériel et symbolique
CAHIERS DE MUSIQUES TRADITIONNELLES Vol. 19/2006CHAMANISME ET POSSESSION Le chamanisme et les cultes de possession intéressent aujourd’hui un large public en quête de nouvelles formes de religiosité ; ils sont aussi au centre de nombreux travaux récents en anthropologie sociale et religieuse. En dépit d’univers symboliques largement comparables, il est communément admis que la distinction entre ces deux formes rituelles réside dans le fait que, dans le chamanisme, c’est l’officiant qui est censé « voyager » hors de son corps à la rencontre d’un esprit, alors que la possession est plutôt caractérisée par la « descente » de ce dernier dans le corps de l’adepte.
LA SEMAINE DU SON sélection d’œuvres parmi les lauréats et pré-sélections des Prix Pierre Schaeffer: Phonurgia Nova et Radio Campus un prix Découverte ouvert aux créateurs de moins de 30 ans. A écouter : : RADIOCAMPUS FRANCE CREATION -Jules Wysocki – Ascenseur, Tour Sapporo, lauréat 2012 -MARIE ANGE MARION CROS LES CRYPTES
Carole Rieussec et de J-Kristoff Camps. A L'OMBRE DES ONDES LIEN A DECOUVRIR
et leur création pourl'association Intermèdes Géographique
dans le cadre de "Traversées" cycle de voyages sonores transfrontaliers à écouter à bord du train qui relie la France et la Suisse; sur la ligne dite des Horlogers. Traversées....
Le duo a composé un labyrinthe sonore à entrées multiples et s'est associé à Franck DUmond.
Réalisée par les membres bénévoles de l'association Nota Bene, Revue & Corrigée, revue trimestrielle née en 1989, aborde librement les musiques expérimentale, improvisée, écrite, électroacoustique, radiophonie, installation sonore, cinéma expérimental, danse contemporaine, performance, poésie sonore... Chroniques régulières, réflexions, entretiens d'artistes, agenda, infos, actualités discographiques et éditoriales, R&C se conçoit comme un recueil des pensées expérimentales en action.
WI WATT’HEURE : Net rubrique audio des Kristoff K.Roll Conçue et réalisée par Carole Rieussec Graphisme et mise en ligne de Lionel Palun Wi Watt’Heure s’écoute comme une émission radio. Quand il est question d’image, vous pouvez vous approcher de l’écran, ces images sont visibles.
Publiée chez Le Mot Et Le Reste, l’anthologieField Recording, l’usage sonore du monde en 100 albums d’Alexandre Galand nous invite à croiser les chemins de zoologistes preneurs de sons, d’ethnologues luttant contre l’oubli et de porteurs de microphones dont les diverses approches convergent dans un désir commun de restituer l’inépuisable richesse de notre environnement sonore.
LA SEMAINE DU SON On écoute : Prix Phonurgia Nova Le lauréat du Prix 2012 est l’artiste sonoreAlessandro Bosetti(Italie) pour sa performance radiophonique 636 produite par André Defossez pour la RTBF à l’occasion de l’Anniversaire de l’art /Art’s Birthday 2010.
Alessandro Bosetti et Jules Wysockiseront les invités de phonurgia nova à l’IRCAMpendantla Semaine du son, le 18 janvier à 17h30,pour une séance d’écoute et de discussion autour de leurs oeuvres.
Durant 4 mois un réalisateur et un dessinateur ont traversé l’Europe jusqu’aux confins de la Sibérie. Mêlant dessins et vidéo, ils racontent leur périple à deux voix, entre road-movie et conte documentaire. Réalisé par Antoine Page/ Dessiné par zoo project
Si vous le souhaitez, vous avez la possibilité de nous aider à travers une souscription en préachetant le dvd.
Les DVD sont en vente 15 euros et seront disponibles en Mars 2013 Chèques libellés à l’ordre d’Office P.A.O Adresse :La maison du directeur 1 rue Vermot 39600 Mesnay
Dans la veine desXXI,6 Mois,Alibiet autreFeuilleton,le groupe Express-Roularta vient de lancer sa revue,Long Cours.Les 200 pages de ce mook trimestriel, entre livre et magazine, journalisme et littérature, propose reportages, portfolios, fictions et BD.La revue, sans pub, veut«mettre en avant des sujets rarement traités, négligés par des médias en prise avec une actualité stressante, en boucle et déformante». Dans le dernier numéro on aborde Les Mapuches, avec Sergio MANUEL d'oringine Mapuche, reporter très impliqué dans cette lutte d'un peuple face une violence régulière passée sous silence....Un très bon article sur l'exploitation du Gaz de schiste et du pétrole aux états-Unis........un carnet de voyage à Okinawa de l'excellent photographe Gérard Rondeau et son univers noir et blanc...pour conclure c'est une bonne chose pour la photographie et l'espace littéraire....
Le ressort habituel des fables consiste à prêter aux animaux les conventions des hommes. La figure métaphorique de l’animal permet ainsi une approche critique de l’humanité. Les Fables de Karen Knorr ont un autre objet : les animaux évoluent avec naturel dans le territoire des hommes. Pas n’importe quels territoires, puisque certains devraient leur rester interdits, comme le Musée Carnavalet, le Château de Chambord, le Musée de la Chasse, la Villa Savoye, le Musée Condé ou d’autres « sanctuaires culturels » que l’on veut habituellement protéger de la profanation des bêtes.
"En fait, nous regardons moins ces paysages qu’eux-mêmes regardent à l’intérieur de nous, par
l’extraction des formes symboliques qui nous habitent. Comme la chouette de « Annnunciation » qui, du centre de l’image, nous fixe dans les yeux. Ce que vient annoncer cet animal, le message que cet
ange inattendu entend révéler, c’est peut-être le mystère paradoxal d’une perception qui œuvre dans
la latence de l’illusion, véhicule de sensations insaisissables et pourtant persistantes. Oiseau
nocturne, lié à la lune, la chouette ne peut supporter les rayons du soleil. Elle est donc étrangère et
aveugle à la lumière qui la frappe et convoque son apparition. Et pourtant ses yeux ne sont pas
éteints ; en eux brille une étincelle vivace et pénétrante. La chouette est traditionnellement l’attribut
des devins ; elle symbolise le don de clairvoyance, mais à travers les signes qu’ils interprètent.
L’oiseau de l’ingénieuse Athéna-Minerve incarne la réflexion et l’imagination qui dominent les
ténèbres, et qu’elle nous aide à traverser." extrait du texte de Nathalie LELEU
GACHA EMPEGA reportage en direct
LA Cité FONTAINE-ECUDE Besançon un direct depuis la Barre HLM Bientôt déconstruite.....
La qualité concrète des villes n’a pas échappé à leur écriture. La littérature, qu’elle soit de fiction ou de poésie, n’a – depuis Balzac et Hugo, en passant par Baudelaire, Aragon, Fargue, Breton, pour ne citer qu’eux – cessé de célébrer ce rapport intimiste et charnel de l’homme avec la ville changeante, émouvante, provocante. La tradition essayiste puis sociologique a pris le relais de cette hyménée, qui en poursuit l’écriture depuis Walter Benjamin : figure du flâneur reprise « pas à pas » après Augoyard, par de Certeau, Sansot, Joseph, Paquot, Pétonnet arpentant les vieux quartiers, et bien d’autres encore. Cette figure demeure individuelle, voire solitaire, mais elle dit puissamment l’émotion qui étreint l’homme dans la ville, relation d’objet qui ne se départit jamais de cette qualité affective, de cette projection mentale, de cette ferveur de la découverte. Corps à corps indéfiniment rejoué dans la rencontre réaliste et surréaliste qu’offre la rue, le décor urbain, ses sédimentations, ses innovations, architecturales bien sûr, mais aussi et surtout suscitée par la juxtaposition de mondes – professionnels, sociaux, culturels et ethniques.
Une autre ville sinon rien !
Elisabeth Pélegrin-Genel - Les Empêcheurs de penser en rond /
La Découverte D
D ans 20 ans, près de 90 % de la population française sera urbaine. Il est urgent de réfléchir à des modes de vie plus économes et plus respectueux de l’environnement et surtout d’expérimenter d’autres formes pour habiter et vivre ensemble.
Elisabeth Pélegrin-Genel est architecte, urbaniste et psychologue au travail. Elle est notamment l'auteure deDes souris dans un labyrinthe. Décrypter les ruses et manipulations de nos espaces quotidiens,(La Dévouverte, 2010; rédition poche, 2012).
De nombreux espaces restent encore inoccupés ou désaffectés. Ces interstices sont des « lieux en attente » que l’on peut (ré)inventer, « un véritable laboratoire d’innovation ». Néanmoins, l’auteur critique les règlementations, susceptibles de juguler les innovations sociales : « on ne peut pas réduire le logement à un simple produit conforme à des normes ». On voit apparaitre de nouveaux projets où l’entraide et les contacts humains s’assurent une place importante. C’est le cas, par exemple, des cohabitations entre personnes âgées et étudiants. On met de la surface en commun, on partage des espaces, autant de lieux de sociabilité retrouvés. Ailleurs, on conçoit une crèche dans une maison de repos, ce qui amène enfants et personnes âgées à se fréquenter. Des citoyens désireux d’habiter autrement décident de « devenir [leur] propre promoteur »
TRANSFORMATIONS DES HORIZONS URBAINS Savoirs, imaginaires, usages et conflits sous la direction de Frédéric de Coninck et José-Frédéric DeroubaixEn coédition avec l'Université Paris-Est / Futurs urbains
"Les villes sont peuplées de personnalités hors sols ou d'individus trajectoires engagés dans des relations éphémères...la ville dilatée par la vitesse de déplacement, espace de flux, est segmentée dans ses fonctions, ses temporalités et ses espaces....L'individualisme activiste des années 1980 est déjà derrière nous, faisant place à un individualisme inquiet à la findes années 1990. L'individu insécurisé, évoluant dans une société où l'insertitude et les craintes sont omniprésentes, a remplécé l'individu performant.....
"Lotissement pavillonnaire, enclave résidentielle, bidonville, etc. Ce voyage au pays des banlieues vous permettra de mieux cerner la réalité de ces lieux multiples que l’on approche souvent de façon réductrice." lire un comte rendu de lecture/revue.org
Par leur densité, leur extension, leur structure interne, leur modalité de développement, mais également par choix ou non-choix politiques, les villes contemporaines entretiennent en leur sein comme en leur périphérie des espaces d’exclusion. Cette politique de rejet, ces espaces de relégation et ces populations mises au ban font l’objet de ce numéro. Nous poursuivons ainsi les réflexions ouvertes par les numéros 12, Peuple des voix et 13, L’exception commune, notamment avec les textes de Christiane Cavallin Carlut : « Réalités et fictions du témoignage dans la demande d’asile : la construction de la crédibilité », de Sylvain George : « De la destruction de la démultiplication des mondes », de Francesco Careri : « Rom, ou de l’impossibilité d’être un figurant » ou d’Antonia Birnbaum : « Ville, cité, site. Déplacement de l’hospitalité ». Rejets urbains est un titre à entendre à plusieurs niveaux. Rejets en effet si l’urbanité de l’urbain se réduit à cette médiocre politesse que donne l’usage du monde pour rendre acceptable à soi le rejet de l’autre. Rejets aussi, pour filer la métaphore végétale, si de la plante qu’on pensait stérile viennent au jour les surgeons d’une vie à préserver, sinon à recréer. Rejets encore d’une possible poétique de la ville pour laquelle l’enjambement en fin de vers ménage une suspension, une respiration dans la prose du monde, autrement dit un intervalle sans lequel il n’est pas de sens commun.
"POLITIQUE DE LA VILLE ET AUTORITE D INTERVENTION" - ABDELHAFID HAMMOUCHE - EDITIONS SEPTENTRION
Une aventure personnelle et professionnelle de bientôt trois années va s’arrêter, en 2011, pour Christophe Martin. Le dramaturge, écrivain, metteur en scène a vécu auprès des habitants du quartier de la République d’Avion. Il les a interrogés sur leur histoire, leur relation avec ce quartier. Ateliers avec les enfants des...
GILLES KEPEL-BANLIEUE DE LA REPUBLIQUE-GALLIMARD
Un travail très intéressant sur une tour avec 3 photographesGaël Clariana
Mickaël TroivauxStephan Zaubitzer
et un texte assez évocateur de Jeanne Benameur
ET MAIS QU EST CE QUE TU FABRIQUES ? 2 le pave dans la marre ceci le meynier
"Témoin vocal des aventures de l’homme contemporain. Beniat Achiary est un basque semeur de temps et d'étoiles, un vent qui souffle avec trop de force tant le toit de sa voix s'envole haut vers tous les chants inspirés. Beñat Achiary est un envol. Avide de rencontres musicales et humaines, il aura su faire entendre dans sa voix le vent et le bruit des chevaux dévalant le pays basque".
Le chant de l’oiseau-lyre d’Australie, les vents de Patagonie, les flûtes sacrées Aré’ aré des Îles Salomon, les vibrations des bâtiments de nos villes ou les louanges exaltées des pêcheurs de perles de Bahreïn ne sont que quelques exemples des innombrables sons et musiques abordés dans cet ouvrage consacré à la pratique du field recording, de l’enregistrement de terrain. Tout au long du xxe siècle, des hommes ont parcouru le monde afin de capter des curiosités sonores pour des raisons scientifiques, patrimoniales et esthétiques. Ce sont des audio-naturalistes, des collecteurs de musique traditionnelle, mais aussi des compositeurs avides de découvrir un nouveau matériau musical. Les microphones sont leurs outils, voire leurs instruments, l’écoute est leur méthode d’approche. En sortant du studio, ils prennent le risque de se confronter à l’imprévisible, à l’incontrôlable, au fragile parfois. Ils se nomment Alan Lomax, Chris Watson ou encore Luc Ferrari.
Cent disques rendent ici compte de leur quête, toujours en cours, du « chant du monde ».
Une riche introduction et trois interviews de figures majeures du field recording (Jean C. Roché, Bernard Lortat-Jacob et Peter Cusack) complètent cette anthologie.
« On attend souvent de la photographie, encore aujourd’hui, qu’elle atteste du monde. Qu’elle renvoie à ce que l’on appelle rapidement la réalité, le vrai, les faits, qu’elle soit définition de quelque chose, qu’elle nous aide à circonscrire le monde, telle une prothèse du discours. Dans mon travail, les images aspirent à autre chose, expriment-expirent autrement, dans cet entredeux du réel qu’est l’imaginaire, l’affect, la projection. Les mots de Walter Benjamin, “l’inconscient optique” hante ce propos, essayant d’atteindre à une présentation verbale (et on l’espère non verbeuse) des images - cet autre du discours. Il est question de laisser planer le doute, l’ambiguïté, vertu de l’Asie, effroi des rationalistes. Il s’agit de laisser regards et sensibles s’entremêler pour qu’une histoire, des histoires puissent émerger ici pour chacun(e). Les photographies sont des vues sur des fragments, des éclats de nos vies, nostalgie et tension mêlées. Au fond, l’affect.
C’est l’ensemble des photographies qui produit la narration, narration éclatée. Il apparaît comme un chemin intérieur. Les images sont émotives. Du réel surgit le mouvement confus et précis à la fois de l’évocation affective. Les photographies appellent le récit tout en empêchant sa clôture, elles attisent le regard tout en ne donnant pas la clé de cette tension. Les images sont comme une intimité des surfaces. Au coeur de cette intention aveugle, le montage. Le montage des images entre elles comme un choeur d’images, comme l’équivocité foncière de l’image - et son respect ».
Sarah Ritter
A 33 ans, la jeune photographe bisontine Sarah Ritter commence en ce mois de février 2011 une résidence dans la petite ville de l'Allier Dompierre-sur-Besbre. A LIRE
ARTISTES INVITÉS PAR SARAH RITTER « Les Éclairs », le 7 février 2013 à 19h
« Les Éclairs » est constitué de Freya Hattenberger
et de Peter C. Simon. Ils électrisent la planète depuis
2009. Actions évocatrices, leurs productions musicales
ressemblent à un voyage à travers un flot de nuisances
sonores, véritables images bruyantes brisées. Leurs
performances sont des improvisations où la voix
humaine, parfois rêveuse, parfois effrayante, se mèle
aux accords préenregistrés. « Les Éclairs » explorent
la poésie de l’instant, superposition de montages
acoustiques et de moments de la performance. Ici une
large place est donnée à l’interprétation du spectateur.
Chaque apparition de « Les Éclairs » est une réflexion
situationistique sur le contexte de la représentation. Pour
«Pictures for nothing», « Les Éclairs » réaliseront une
nouvelle performance enregistrée pour le live-album
« Les Éclairs - C’est ça ! ».
"Ma recherche photographique porte sur la relation entre l’individu et le lieu. Celle-ci s’articule autour d’une tension sur laquelle repose la construction de mes photographies. Je cherche à établir un équilibre fragile qui peut faire basculer l’image vers quelque chose d’ambiguë, à la fois intrigant et énigmatique. L’interaction entre la figure et le lieu, l’inscription de l’individu dans un environnement précis déterminent ainsi la conception de mes images.
Pour chaque mise en scène, je tente de créer une atmosphère singulière et captivante qui accordera à l’image une dynamique propre affirmant son autonomie. La lumière naturelle enveloppe les modèles joue du clair obscur et du contre jour, effleure le vêtement, convoquant tour à tour le champ pictural ou cinématographique. Les lieux que je choisis, les décors que je constitue sont sobres, intemporels et minimalistes, me permettant de focaliser l’attention sur le sujet.”
-SERGE PEY Ahuc ; poèmes stratégiques ; 1985-2012
Editions Flammarion
Une constellation de textes destinés à rendre compte de son parcours entre happening, poésie action, performer, chaman des sources cathares.....avec un dvd in situ dans une série de performances filmées à Toulouse en 2011.
Il est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages de facture poétique. Dont récemment Traité à l’usage des chemins et des bâtons (Editions Le Bois d’Orion), Le pavillon des poitrinaires (Editions Phi)
"Ce qu'il reste du poème : une tache rouge sur le front de la langue."
Orages, grelots sans la voix, bâton contre la terre pour la faire enfin accoucher de qu'elle sait, Serge Pey s'avance sous son chapeau, les paroles de feu comme flammèches sur la tête.Oralité, oralité, le monde n'est que paroles souvent enfouies et une voix gueule au milieu de cet enfouissement pour nous les redonner. Au risque d'indisposer les Dieux jaloux. Moïse changeait ses bâtons en serpent pour terroriser les pharaons, Serge Pey transforme ses dragons en bâtons, pour nous rendre libre.
C'était une fois, c'était toujours.
La poésie n'est pas
une solution
Aucune solution
n'est une poésie
Une pierre n'est pas
un phénomène optique
Aucun phénomène optique
n'est une pierre
Une chaise n'est pas
un homme assis
Aucun homme assis
n'est une chaise
Ce cerisier n'est pas
un arbre
Aucun arbre
n'est un cerisier
La neige n'est pas
une lumière
Aucune lumière
n'est une neige
La poésie n'est pas
une solution
Aucune solution
n'est une poésie
En chantant
on découpe sans bouger
les lèvres de ce qui nous embrasse
car nous avons faim
d’avoir faim
et nous vengeons notre bouche
d’avoir été mangée
A force de regarder le ciel
nous faisons boiter
l'infini
qui ne s’arrête pas de marcher
comme un mendiant aveugle
La nuit lui donne parfois
sans nous
la monnaie d’une étoile
La beauté qui se perd
nous aime toujours
de nous
avoir perdu
-ALMA Isabelle Fougère Textes - Miquel Dewever-Plana -Editions le Bec en l'air
"Peut-on échapper à la violence quand on est née dans la violence au Guatemala City, la ville la plus dangereuses du monde ? Egérie d'un gang Alma a réussi à s'extraire de cet univers, mais elle l'a payé au prix fort......."La mort te poursuit, mais ton chemin est comme une revanche pour nous, les femmes, les pauvres, les fatalistes."
"Ca fait belle lurette que j'ai fini de pourrir au creux du terrain vague où ils m'ont jetée. Mon frèle squelette a blanchi. Mes deux enfants ont eu le temps de m'oublier....Je suis morte il y aura bientôt dix ans. Morte pour une promesse. Morte en gage. Mon corps comme une corbeille de mariée......
Ce livre accompagne la sortie d’un web-documentaire de Miquel Dewever-Plana et Isabelle Fougère, intitulé Alma, une enfant de la violence, produit par Upian, Arte et l’agence VU’, qui traite de la violence au Guatemala.
Née à Beyrouth en 1981, Zeina Abirached a fait des études de graphisme au Liban puis à Paris, aux Arts Décoratifs. Après Beyrouth Catharsis et 38 rue Youssef Semaani, son roman graphique Mourir Partir Revenir, Le jeu des hirondelles connaît un très large succès public et critique (sélection Angoulême 2008, 15000 exemplaires vendus, traduction dans une dizaine de pays). Elle a publié cinq livres aux éditions Cambourakis, et prépare un nouvel album à paraître en 2013,Beyrouth Partita.
Emprisonné à cause d'un dessin anodin, l'Iranien Mana Neyestani a dû s'exiler. Un cauchemar qu'il raconte dans “Une métamorphose iranienne”.Formidable cauchemar et terriblement réel, comment se débarrasser de cafards par un été à Téhéran , sept façons d'exterminer ces cafards en les envoyant faire leur service militaire......Après l'exil par Dubaî,la Turquie, la Chine la Malaisie, puis la France... Un dessin à l'humour de Serre et la la crayon dur noir glaçant à la Hitchcock ...superbe
précédé de Silex en concert à la rodia le 14 novembre 2012 20h30dans le cadre deLumières d'Afrique
Artiste décalé ? On aime alors la voix veloutée de ce camerounais exilé, la fraîcheur et la légèreté de sa musique, son swing… Un auteur-compositeur d’une rare finesse qui réhabilite avec talent les cultures les plus ancestrales, dans une tradition folk africaine. De ses rencontres et de ses voyages, Henri s’est enrichi de nouvelles sensibilités et développe avec pudeur des thèmes de société qui lui tiennent à cœur, tels que la tolérance, l’amitié, ou encore la cause des enfants « nés sous x ». Originaire du Cameroun, Henri Dikongué grandit à Yaoundé, la capitale. Né dans une famille de musiciens, il apprend à jouer de la guitare acoustique auprès de son oncle.
Entretien avec Gérard MARIONorganisateur du festival Lumières d'Afrique Chaque année en novembre, l’Afrique et le cinéma sont à l’honneur dans la capitale comtoise. L’Association pour la Promotion des Arts et des Cultures d’Afrique –APACA– met en place le festival Lumières d’Afrique depuis 1996. Parallèlement au cinéma, le festival convoque de nombreuses autres disciplines : musique, littérature, arts plastiques, afin de traiter des cultures africaines dans toute leur diversité. Bivouac littéraire Lumières d’Afrique, c’est aussi une mise en avant des auteurs issus des diasporas vivant à Besançon. Léonora Miano, Prix Goncourt des lycéens en 2006, sera présente.
"Improviser, c'est s'improviser,
c'est donner conscience au soi doutant de soi "Bernard Lubat
Résister, c’est créer et développer des contre-pouvoirs et des contre-cultures. La création artistique n’est pas un luxe des hommes, c’est une nécessité vitale dont la grande majorité se trouve pourtant privée. Dans la société de la tristesse, l’art a été séparé de la vie et, même, l’art est de plus en plus séparé de l’art lui-même, gangrené qu’il est par les valeurs marchandes.Miguel BENASAYAG
Algérie : des « événements » à la guerreIdées reçues sur la guerre d'indépendance algérienne
Le 17 octobre des Algériens suivi de La triple occultation d'un massacre Marcel PÉJU,Paulette PÉJU
Journaliste,Marcel Péju(1922-2005) est également l'auteurs, avec Paulette Péju deRatonnades à Paris(Maspero, 1961 ; nouvelle édition La Découverte/Poche, 2000).
Journaliste, Paulette Péju (1919-1979) est également l'auteurs, avec Marcel Péju deRatonnades à Paris(Maspero, 1961 ; nouvelle édition La Découverte/Poche, 2000).
Grand Prix du Livre-audio 2012 L'Auberge épouvantablerécompensée
Après lePrix du Public, catégorie Classique, remis au mois de mai 2012, c'est une nouvelle récompense qui vient d'être décernée à notre enregistrement deL'Auberge épouvantabledeGaston LEROUX.
Ce titre vient en effet de recevoir leGrand Prix du Livre-audio 2012, catégorie Classique.
Remis annuellement depuis 2010 parLa Plume de Paon, ce prix était parrainé cette année par le comédienJacques WEBERet attribué par un jury présidé par réalisateur et scénaristePascal KANÉ.
nvité du jour : PAUL DIETSCHY historien, maître de conférence à l'Université de Franche Comté, auteur de Histoire du football, Perrin, 2011 - "Origines et naissance du football européen" Colloque les 28 et 29 septembre 2012 à l'U-Sports - Université de Franche Comté INFO :http://www.univ-fcomte.fr/download/pa... http://www.free-project.eu/Pages/Welc... http://www.wearefootball.org/PDF/pari... http://www.wearefootball.org A l'heure du déclin des idéologies et des liens collectifs, le football fait office de religion civile où s'exacerbe le sentiment d'appartenance. Pour le pire comme en témoigne l'ascension du hooliganisme. Sport de tous les excès, il est aussi celui de tous les paradoxes contemporains, car il conjugue tentation individualiste et esprit d'équipe..
Christelle RAVEY Partition singulière Editions de la Boucle "Un roman qui s’écrit, c’est un univers qui s’invente. Les mots et les phrases sont autant de projecteurs orientés sur les contours et les aspérités de notre monde. La fiction est un miroir dans lequel nous retrouvons notre image, chaque fois semblable mais différemment éclairée." Phil, guitariste et compositeur, prend un jour la décision de disparaître. Sa fille, Juliette, a huit ans. Des années plus tard, elle décide de partir à sa recherche. Elle se trouve alors confrontée aux silences de ceux qui ont voulu la protéger, eux-mêmes déroutés par le sens d'un choix qui leur a échappé. Partition singulière explore les notes profondément humaines et contradictoires de chacune de nos histoires, interrogeant le sens des choix dont on ignore les conséquences, touchant du doigt les drames qui impriment en nous leur marque indélébile. Une mélodie aux variations délicatement poétiques pour un chant d'amour d'une rare violence
Menu de la semaine : 1-Création Sonore & Radiophonique - 10ème Concours International d’Art Radiophonique LUC FERRARI - Tous les deux ans, La Muse en Circuit, Centre national de création musicale, et la SACEM en partenariat avec le Festival Archipel, l’INA-GRM, Radio France, Radio Campus, la Radio Suisse Romande – Espace 2 DeutschlandRadioKultur, et Musiq 3 –RTBF, intitulé est cette année "correspondance" trois lauréats : Julia Hanadi Al Abed (France) - Alejandro Montes De Oca (Mexique)- Sam Salem (Royaume Uni) 2- Festival international de musique de Besançon - L’enfance de l’art - Rencontre avec Adèle du festival spéciale MAGGIC MIRRORhttp://www.festival-besancon.com/inde... 3-http://ici-et-ailleurs.org/spip.php?rubrique31 : Quatrième rencontre, sur le thème : dette et don" vend 28 soir, 29 et 30/09/12http://www.gite-lecloset.com
rencontre avec les artistes Mélanie Bachmann et Julien Mestik. La très belle galerie "Regards d'artistes" (en face des Salines) accueillera du 10 septembre au 10 octobre les toiles aux couleurs orgasmiques de Mélanie Bachmann et les derniers bovins surréalistes de votre serviteur Julien Mestik. N'hésitez pas à venir vous rincer l'oeil, l'entrée est libre, la sortie aussi d'ailleurs... Galerie ouverte du mercredi au dimanche de 14h à 18h30. Vernissage le samedi 22 septembre à partir de 17h. Au plaisir ! http://www.melaniebachmann.com/ http://jumestik.free.fr/
Vendredi 17h - 19h : 1er partie le groupe de Besançon LI : pour son nouvel album " low frequencies" surle label BeaubuRO qui donnera du fil à retordre à la chronique, ni rock, ni pop, ni éléctro mais un peu de tout ça à la fois « low frequencies » regorge de chaleur noire, de blues joyeux et de fièvre du samedi soir... « low frequencies » sur le labelhttp://www.beauburo.com/artistes/li ecouter :http://limusiq.bandcamp.com/ Limusiqhttp://twitter.com/#!/limusiq Suivre et réagir avec Li... Facebook Lihttp://www.facebook.com/limusiq Soundcloud Lihttp://soundcloud.com/limusiq/tracks Architecte sonore et producteur éclairé, Li s'aventure là où l'on ne l'attend pas. Ecoutez voir!
1ER PARTIEECOUTER;Rencontre avecRouja LazarovaetClaude-Louis Combetdans le cadre des Dionysies
le Festival littéraire en pays du Revermont, “Les Dionysies”, vise au début de l’été à permettre à un large public de découvrir la création littéraire contemporaine grâce à des lectures par des comédiens de renom, des discussions avec les auteurs et des promenades littéraires au gré des textes et des richesses du patrimoine. Les Dionysies accordent un espace approprié de parole vraie aux écrivains invités autour de la création durant les quatre jours. Tout au long du festival, des discussions avec les auteurs ponctuent les temps de découverte des textes. Cette année, six auteurs sont invités à échanger autour de leurs œuvres : Arnaud Cathrine, Yasmine Char, Marie Cosnay, Louis-Philippe Dalembert, Rouja Lazarova et Noémi Lefebvre. http://www.crl-franche-comte.fr/ LES DIONYSIES Littérature, mets & vins en Pays du Revermont Arbois, Poligny, Salins-les-Bains 5 au 8 juillet 2012
Troisième rencontre sur le thème : majorité/minoritéorganisée par l'association“Voyons où la philo mène...” avecPHILIPPE ROY et SYLVESTRE SOULIE http://ici-et-ailleurs.org//spip.php?... L’association “Voyons où la philo mène...” organise une troisième rencontre les vendredi 13 juillet au soir, samedi 14 et dimanche 15 juillet 2012 au gîte “le Closet” 25330 Fertans (17-19 grande rue). Site du gîte (avec plan d’accès) :http://www.gite-lecloset.com sur le thème : Majorité/minorité Argumentaire : Deleuze nous prit un jour par surprise en questionnant notre désir de devenir majoritaire, en jetant la suspicion sur tout devenir-majoritaire – ce désir n’est-il pas établi au cœur de la culture démocratique, et quoi de plus solide que la procédure par laquelle se dégage, périodiquement, une majorité légitime, par l’exercice du droit de vote et le moyen du suffrage universel ?
Interventions de Cécile Meynier à l’École Fontaine-Écu, avec une exposition de restitution en juin. Le Pavé Dans La Mare a mis en place avec l’école élémentaire d’application Fontaine-Écu, la Ville de Besançon et l’artiste Cécile Meynier un projet sur trois ans, constitué de sorties culturelles et d’interventions en arts visuels pour toutes les classes de l’établissement scolaire sur toute l’année scolaire..
Découverte de la scène musicale roumaine et présentation de quelques artistes représentatifs de la richesse créative du pays : Florin Raducanu, Mihai Iordache, Maria Raducanu, Grigore Lese, Anton Pann, Trei parale, Marta et Vlaicu, Aeivea, Antonin Dvorak........
Premier roman éblouissant Le sillage de l’oubli a valu l'auteur son auteur d’être comparé par une presse américaine enthousiaste à William Faulkner.À travers une écriture vertigineuse, BruceMachart dresse le portrait sans concession d’une famille déchiréeen quête de rédemption.
Il rassemble 1300 étudiants bénévoles qui interviennent chaque semaine dans plus de 80 établissements pénitentiaires pour partager leurs connaissances sous forme de soutien scolaire et d'activités culturelles et socio éducatives. Le GENEPI mène également une réflexion sur la prison et la Justice, et communique sur le sujet dans le cadre de l'information et de la sensibilisation du public (I.S.P.) à la réinsertion des personnes incarcérées et aux thématiques carcérales.
A l'heure où la question de la prévention et de la répression de la délinquance et du crime s'est installée au cœur du débat public, la radiographie de l'univers carcéral français réalisée par l'OIP n'est pas seulement une initiative citoyenne salutaire, elle constitue une véritable démarche d'utilité publique. En retraçant les évolutions des politiques pénales et pénitentiaires au cours de la période 2005-2011, dans toutes leurs nuances et contradictions, ce rapport permet à chacun de connaître l'usage qui est fait de l'emprisonnement et la réalité de ce qui se passe derrière les murs de nos prisons. Alors même que l'institution pénitentiaire fait l'objet d'une remise en cause permanente sur sa capacité à respecter l'État de droit et les droits de l'Homme, le nombre de personnes incarcérées atteint des niveaux historiques et les plans de construction de nouvelles prisons se succèdent. Au terme d'un long processus d'élaboration, la loi pénitentiaire de novembre 2009 n'a finalement pas apporté d'avancée majeure dans la reconnaissance de droits visant à protéger la personne détenue. Elle vient même entériner certaines régressions, telle la mise en place de « régimes différenciés ». Quant à l'injonction paradoxale faite au juge de systématiser la réponse « prison » (peines plancher) et de transformer les courtes peines d'emprisonnement en surveillance électronique, elle s'est accompagnée d'un tournant législatif qui ajoute à des peines de plus en plus longues des mesures de sûreté pour les auteurs d'infractions les plus graves, sur la base d'une évaluation de la « dangerosité » hasardeuse et artisanale. Pour commander le Rapport, téléchargez le formulaire encliquant ici.
Pour télécharger le dossier de presse,cliquez ici.
Le RapportLes conditions de détention en France, édité aux éditionsLa Découverte, sera disponible auprès de l'OIP à partir du 6 décembre 2011 et en librairie le 5 janvier 2012. Destiné à un public soucieux du respect des droits fondamentaux de la personne, cet ouvrage de 336 pages qui couvre une période de cinq ans (2005-2011) fournit les clés pour comprendre les tenants et aboutissants du scandale persistant du système carcéral français.
A l'aune d'enquêtes qu'il réalise dans les prisons, et d'observations cumulées par de nombreux acteurs, institutions, et chercheurs, l'OIP dresse dans cet ouvrage,un état des lieux des différentes dimensions de la vie et du travail derrière les murs.Des dispositifs de sécurité s'inscrivant dans une logique de coercition plus que de prévention, aux possibilités d'accès aux soins somatiques et psychiatriques, en passant par le travail des détenus, les contacts avec leurs proches et leurs possibilités d'expression une véritable radiographie de la prison est mise à disposition de tous. Elle témoigne d'un mode de sanction plus contre-productif que réparateur, invitant à revisiter autant nos représentations des auteurs d'infraction que de la réponse pénale et sociale.
Cette édition 2011 vise à devenir undocument de référencedu débat public sur la prison et la réponse pénale dans les années à venir. Nous souhaitons qu'il fasse l'objet d'une diffusion particulièrement large, notamment dans les rayons de l'ensemble des bibliothèques des établissements pénitentiaires à destination des personnes incarcérées. Depuis sa création, l'OIP met en effet un point d'honneur à mettregracieusement ses publications à disposition des personnes détenues. Á l'occasion du 10 décembre 2011, journée mondiale des droits de l'Homme, les bibliothèques des prisons recevront par voie postale près de 2 000 exemplaires de ce Rapport. Les détenus qui en feront la demande pourront également le recevoir directement.
ENFERMER ET ÉDUQUER:quel bilan pour les centres éducatifs fermés et les établissements pénitentiaires pour mineurs?
La loi d'orientation et de programmation pour la justice du 9 septembre 2002 a tenté d'apporter de nouvelles solutions à la prise en charge des mineurs multirécidivistes avec la création des centres éducatifs fermés (CEF) et des établissements pénitentiaires pour mineurs (EPM).
Huit ans après leur création, la commission des lois a confié à MM. François Pillet et Jean-Claude Peyronnet le soin de procéder à une évaluation de ces établissements, qui s'efforcent de concilier privation de liberté et projet éducatif. Comment ces nouvelles structures ont-elles rempli leurs missions ? Ont-elles favorisé la réinsertion et contribué à lutter contre la récidive ?
A la lumière des auditions et des visites auxquelles ils ont procédé, les co-rapporteurs ont cherché à dresser un bilan nuancé mais sans concession du fonctionnement des CEF et des EPM et de leur efficacité. Ils formulent plusieurs recommandations destinées à améliorer ce dispositif.
Les portes se referment sur l'auteur pour quatre années. Primo délinquant réduit à un numéro d'écrou, il lui faudra vivre la surpopulation, la crasse, les violences, l'infantilisation, l'arbitraire. Les mois passent, les faits sont relatés sur le vif, y compris lors du procès d'assises traitant du plus gros braquage réalisé en Aquitaine au cours des vingt dernières années. Ce texte rapporte l'amour d'un fils, d'un père, d'un homme, placé dans ce contexte dévastateur.
Dans « Journal de taule », un ouvrage de 247 pages, Christophe de La Condamine, 48 ans, livre les notes qu'il a prises durant ses années de prison. Avec deux autres complices, il avait réalisé ce qui reste aujourd'hui encore comme le plus important braquage, en termes de butin, en Gironde. Dans la nuit du 11 au 12 novembre 2002, lui et ses complices avaient volé la recette du péage de Virsac, en haute Gironde, soit un montant de 180 000 euros.
Deux ans plus tard, il était interpellé à la sortie du commissariat de Cenon, où il venait de déposer plainte pour vol avec violence. Ses complices aussi ont été épinglés. Se sont alors succédé garde à vue, déférement, mandat de dépôt, auditions devant un juge d'instruction et procès aux assises, avec à la clé une condamnation à six ans de réclusion criminelle.
Pour se protéger
Dès le début, Christophe de La Condamine a tenu un journal. « Depuis mon enfance, j'ai toujours baigné dans la lecture, même si je n'ai pas mon bac. Puis l'envie d'écrire est venue. Une fois en prison, l'écriture a été une manière de me protéger. J'ai choisi d'écrire sur le mode journalistique. Pour m'obliger à prendre du recul. "Journal de taule" est une succession de flashs. Ce n'est pas de l'écriture romanesque. »
Christophe de La Condamine souhaite faire toucher au plus près l'univers de la prison. Un espace auquel ce fils d'ouvrier typographe n'était pas forcément destiné. « Mon père est venu travailler à Bordeaux alors que je n'avais que 2 ans. On habitait Lormont. Mais, à cette époque, dans les cités, on pouvait laisser sa mobylette sans antivol. »
Après une adolescence difficile - « j'étais le pitre de la classe » -, Christophe a lâché le lycée en première. À 18 ans, après les trois jours de sélection pour le service militaire, il s'engage dans l'armée. Devenu sous-officier dans l'artillerie, il travaillera autour des missiles nucléaires Pluton. Au bout de quatre ans, il quitte l'armée par amour et se marie, à Paris. Il devient commercial, avec un certain succès, notamment dans le domaine des systèmes d'alarme. « J'y ai acquis des connaissances qui m'ont servi pour Virsac », sourit-il aujourd'hui.
« Mon divorce, en 1989, a marqué un tournant. Je suis revenu à Bordeaux. Je suis beaucoup sorti. J'ai commencé les petits larcins, les conneries. Jusqu'à ce qu'on me propose l'affaire du péage. Il était question de 3 millions d'euros. »
« Traumatisme »
Grâce au complice qu'ils ont dans la place, les trois malfaiteurs en herbe obtiennent tous les renseignements nécessaires. « On attendait un gros week-end pour que la recette soit forte. » Celui du 11 novembre 2002 a été choisi. Mais il a fait très mauvais temps. « On n'a pas eu le butin espéré. Mais ce qui me pèse le plus aujourd'hui, c'est le traumatisme qu'on a causé à l'employée d'ASF qui se trouvait là. J'ai sous-estimé la violence psychologique que l'on a imposée. »
Aujourd'hui, Christophe de La Condamine a retrouvé la liberté. Il prépare un diplôme d'accès aux études universitaires. « Je veux poursuivre des études pour ensuite travailler dans la réinsertion. » Il s'implique aussi dans l'Observatoire international des prisons et dans d'autres associations de soutien aux prisonniers.
Avec son « Journal de taule », à travers ce récit quotidien, il espère contribuer à mieux faire comprendre la réalité carcérale et sa dimension parfois inhumaine.
Les bruits de la prison : un aspect souvent abordé au cinéma, à la radio et dans les récits des détenus. L'univers carcéral a une forte dimension sonore, à base de verrous, échos, cris et résonances. Une création réalisée à partir d'un atelier son mené dans une maison d'arrêt. Enregistrements : novembre 08 *Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch Réalisation : Jean-Baptiste Fribourg
atelier de pratique artistique dans la maison d'arrêt de Besançon mené parJoss Dray photographeécrivain et le soutien de2AD assod'aide aux détenus, leCedrate, centre de recherche et d'action sur les traumatismes et l'exclusion, leSpip Service pénitentiaire d'insertion et de probation du Doubs et du Jura.....Rajawi et René le Gaulois parlent de leur travail d'écriture et photographique.
Langue de publication: Italien. Éditeur: Ibiskos Editrice Risolo (Empoli, Italie). Date de publication: octobre 2010. Format: Broché, 200 pages, illustré. Prix: 12 euros. ISBN: 978-88-546-0715-6
C'est un essai historico-critique, fourni de photographies et de documents originaux (dont des inédits précieux), narrant l’amitié entre deux hommes – l’écrivain-journaliste Dino Buzzati et le prêtre modénais Zeno Saltini, fondateur de « Nomadelfia » –, qui parviennent, tout en entreprenant deux chemins différents, à une unique aspiration : la Bonté. Leurs paroles et leurs actes nous lancent une provocation… ou tout simplement une « proposition ».
Le livre parcourt l’histoire passionnante de la « cité de la fraternité » fondée par le père Zeno en 1931 (située, à ce jour, dans la maremme toscane), qui croise la grande Histoire et les grands personnages de l’Italie du XXe siècle.
Il est destiné à tout le monde, car son message est universel.
Son dernier essai en français sur l'importance de l'expérience onirique chez Dino Buzzati et Claude Louis-Combet
Sogno ("le rêve") - Bachelardiana vol5
Claude Louis-Combet L'Origine du cérémonial
éditions Corti 2012
Le cérémonial, évoqué dans le titre, préside à la célébration de l’amour par les amants. Il est le fruit longuement préparé, dans le terreau de l’enfance et de l’adolescence, par des expériences aussi occultes qu’essentielles qui résultent elles-mêmes du travail des sens, associé à quelques intuitions que l’on peut dire de l’ordre du coeur. Des arcanes, en quelque sorte, symbolisés dans cette suite de textes par trois images : celle des Gémeaux, celle du Chant, celle de la Fleur.
Les trois récits qui composent l’ouvrage ont été écrits avec un intervalle d’une dizaine d’années entre chacun d’eux : « Gémellies » date de 1990, « Choralies » de 1999 et « Floralies » de 2010
Vendredi 20 JANVIER 2012
Concert/Poésie/Performance - Alessandro Bosetti, Yannick Dauby, Charles Pennequin
DIFFUSION DU CONCERT DU 11/01/2012 -
A LA RODIA 20h30
Les trois artistes, issus des univers de la poésie sonore, de la musique expérimentale, de l?improvisation électroacoustique, mêleront leurs sons.
Charles Pennequin, poète, est né en 1965 à Cambrai et vit et travaille à Lille. Remarquable lecteur de ses textes à l’occasion de nombreuses interventions performatives, il explore avec son travail les voies de la création moderne.
Alessandro Bosetti, compositeur, musicien et artiste sonore, est né à Milan en 1973 et vit et travaille à Berlin. Son travail est basé sur la musicalité de la voix, du langage et des langues, oscillant entre art radiophonique, art sonore et musique expérimentale.
Yannick Dauby est né en 1974 dans les Alpes-Maritimes et vit et travaille à Taiwan depuis 2007. Ses matériaux favoris sont les enregistrements sonores de l’environnement (phonographies). Il s’intéresse particulièrement aux interactions des mondes sonores animaux et humains.
Cette soirée sera aussi l’occasion du lancement d’un vinyle édité par le Frac Franche-Comté : Les chiens de la casse feat. Charles Pennequin.
Alessandro Bosetti "Nos positions" compositeur, musicien et artiste sonore, né à Milan en 1973, vit et travaille à Berlin. Son travail est basé sur la musicalité de la voix, du langage et des langues, oscillant entre art radiophonique, art sonore et musique expérimentale. en savoir plus sur Alessandro Bosetti…
Yannick Dauby "Wa jie meng xun" né en 1974 dans les Alpes-Maritimes, vit et travaille à Taiwan depuis 2007. Ses matériaux favoris sont les enregistrements sonores de l’environnement (phonographies). Il s’intéresse particulièrement aux interactions des mondes sonores animaux et humains. en savoir plus sur Yannick Dauby…
Charles Pennequin "Tout pétarade" poète, né en 1965 à Cambrai, vit et travaille à Lille. Remarquable lecteur de ses textes à l’occasion de nombreuses interventions performatives, il explore avec son travail les voies de la création moderne. en savoir plus sur Charles Pennequin…
Que devient le héros lorque celui-ci est une femme ou que devient une femme lorqu'elle devient héros ?
Un ouvrage riche d'articles et d'un essai sur la place de la femme comme héros et personnage particulier. Un panorama des nouvelles héroine mais surtout une réflexion sur Masculin Féminin dans la construction des myhtes contemporains. Cendrillon détective, Lara Croft en nuisette dans son manoir, Gally la Cyborg qui sauve le monde, Lelia héroique chez George Sand,des héros féminins désexuées aux femmes autoritaires et charmeuses.....
Quelles sont les normes et les signes de leur féminité et de leur héroïcité? Qu'est ce qu'une femme et qu'est ce qu'un comportement héroïque ?......
Vendredi 6 JANVIER 2012
émission Spéciale ARCHéoLogie
émission enregistrée dans le cadre de la fête de la Science
en direct de la Faculté des Sciences
Emission enregistrée en direct de la fac des sciences durant la fête de la science. Je voudrais remercier Gilles Malapert musicien auteur pour son improvisation - Mammouth Remercier aussi Jean-Baptiste Lajoux archéologue ET ses deux compères archéologues Jean-Louis Dousson et Jonathan Desmeulles - Archéologue Topographe (SMAP Besançon)
Les bruits de la prison : un aspect souvent abordé au cinéma, à la radio et dans les récits des détenus. L'univers carcéral a une forte dimension sonore, à base de verrous, échos, cris et résonances. Une création réalisée à partir d'un atelier son mené dans une maison d'arrêt.
Enregistrements : novembre 08 *Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Jean-Baptiste Fribourg
Atelier de pratique artistique dans la maison d'arrêt de Besançon mené par Joss Dray photographe écrivain et le soutien de 2AD asso d'aide aux détenus, le Cedrate, centre de recherche et d'action sur les traumatismes et l'exclusion, le Spip Service pénitentiaire d'insertion et de probation du Doubs et du Jura.....Rajawi et René le Gaulois parlent de leur travail d'écriture et photographique.
IMPRO LECTURES SELECTION DE LIVRES DU MOMENT (aucun lien avec le sujet du jour) :
DANIEL DE ROULET-TU N AS RIEN VU A FUKUSHIMA
LAURENCE VILAINE- LE SILENCE NE SERA QU UN SOUVENIR
GACHA EMPEGA 16 Déc 2011
1er partie : Jeannine survivante
Témoignage d'une femme sur son enfance et sur son regard autour de la Femme. Sa famille et ses parents ont été déporté alors qu'elle n'avait que 10 ans.....
2er partie : José Shungu
"c'est arrivé près de chez Vaux"....le 17 Décembre à la Rodia
Objet :faire connaître en Franche-Comté la culture kabyle par l’organisation de manifestations culturelles. Sauvegarder et cultiver les valeurs ancestrales au sein de la communauté kabyle de Franche-Comté. Apporter une aide humanitaire à la Kabylie. Promouvoir le respect de la démocratie et des droits de l’homme et défendre les intérêts spécifiques de la Kabylie. L’association constitue un lieu d’échanges culturels et un trait d’union avec les autres associations de Franche-Comté et de l’étranger ayant les mêmes buts.
Siège social : 7 rue du Languedoc - 25000 Besançon.
Président : Yacine Yahiaoui
Ecouter l'émission du 25-11-2011
Invités Céline Trossat Incroyables faits Divers en Franche Comté
Le travail de Dominique Petitgand prend différentes formes selon son mode de diffusion : éditions de CD, installations sonores et concerts dans l'obscurité.
"Chaque pièce sonore que j'ai faite raconte quelque chose de particulier et la forme de chacune induit un enjeu aussi particulier.
Joss Dray
"J'essaie de montrer que la vie est plus forte que tout"
Joss Dray, photographe et écrivain, a été l'invitée par l'assocation Javel durant l'année 2009 pour mettre en place des ateliers dans le cadre de l'action Auto-Embellissement.
Joss Dray est l'auteur de nombreuses expositions sur la mémoire du peuple palestinien, ainsi que de chroniques sur des cités de banlieue. Elle a participé à plusieurs ouvrages, dont Femmes aux mille portes (avec Leïla Houari, EPO-Syros, 1996) et Caravane des quartiers (avec Béatrice Castoriano et Medhi Lallaoui, Fondation Abbé Pierre, 1999).
Ses photos prises en Palestine, en Afghanistan ou dans la cité du Blanc-Mesnil, dans la banlieue parisienne, racontent la vie dans les périphéries du monde."Il existe partout des lieux de relégation, des lieux de souffrance, à la lisière des grands centres urbains, rapporte Joss Dray. Mes photos ont été choisies avec un collectif de femmes du quartier du Blanc-Mesnil. Mon travail raconte l'enfermement, mais aussi la liberté. J'essaie de montrer que la vie est plus forte que tout et qu'il est possible de se reconnaître dans l'autre, où qu'il soit et quel qu'il soit." L'autre ? Il vit dans le Sud ou il vient du Sud, et il parle à celles et ceux du Nord, c'est-à-dire nous.
5ème édition de la BIENNALE des ARTS PLASTIQUES en Franche-Comté.
Vendredi 14h 18h plus Vernissage, Samedi 10h à 20h, Dimanche 10h à 18h.
Diffusion sur France 3 Régionale, du film d' Alexandra Garcia-Vilà "Rivage - La traversée de Maud Riffay" sur son travail pendant les deux ans (et demi) où elle m'a suivit à chaque étape.
Possibilité de le télécharger sur leur site pour le visionner dans la rubrique : bourgogne.france3.fr/evenement/documentaires). Il y aura une 2ème diffusion, le lundi 7 novembre à 8H50 visible sur les 7 chaines régionnales de Fr3.
Finalement, c'est le titre beaucoup plus explicite
" Avec Brassens, parlons de la mort "
qui a été retenu. Inversement, pouvions-nous consacrer un "mois anniversaire" à Brassens sans évoquer la mort ? Il faut ensuite préciser qu'il ne s'agit pas d'un concert, mais d'un échange de propos autour de la mort, du deuil. Les textes de Brassens seront ici des parenthèses, des ponctuations, des échos, en résonnance avec les thèmes abordés.
Avec en direct dans l'émission :
Geneviève Pirolley Psychanaliste
Brigitte Rochelandet Docteur en Histoire des Mentalités
David Haegy Conseiller Funéraire
Illustration musicale et poétique
Guy Vigouroux de l'Amandier
Soirée le MARDI 18 OCTOBRE 20H30
Petit KursaalBesançon
Geneviève Pirolley Psychanaliste
Brigitte Rochelandet Docteur en Histoire des Mentalités
David Haegy Conseiller Funéraire
Animée par Sylvie Debras Journaliste
Illustration musicale et poétique
Jean-Pierre Bolard et Guy Vigouroux de l'Amandier
Maggy Bolle, Guy Pothier, Guy Vigouroux,Philippe Borie,Fredérique Cesselin,Jean Jacques Dorier
BACK YO THE TREES EMISSION SPECIALE
Rediffusion de l'émission RADIOMNE
Réalisée en direct du Marulaz Lundi
Présentation Michèle Lision / Julien Pauthier, avec Emmanuel Bonneville, de la radio MNE. Les invités : Claire Willemann, Estelle Régent, Lionel Viard, Aurélien Bertini, Hoka Claude Gouin.